Vous estimez ne pas avoir le droit de porter un avis. Vous ne trouvez pas de formules pour souligner la force ou signaler les faiblesses d’un texte.
Sortez et fréquentez les lieux où les gens se rencontrent : stades, marchés, portes des écoles ou parvis des églises. Vous croiserez des personnes qui se filent des conseils, se donnent des adresses, partagent des astuces. De quel droit commentent-ils leur quotidien, eux qui ne sont ni champions olympiques ni pédagogues diplômés ? Tout simplement, ils sont comme vous et moi, ni gourous ni coachs, des personnes de bonne volonté qui se disent ce qu’elles pensent, ce qu’elles ressentent et comment elles s’y prennent pour avancer.
Craignez-vous de blesser les auteurs ? Nous sommes là, en intermédiaires. Notre rôle est de synthétiser les avis, pas de vous dénoncer. Quand vingt remarques soulignent la même bizarrerie, celle-ci n'est transmise qu’une seule fois à son auteur. Et si vous indiquez une erreur qui n’en est pas une (modification de 1990, évolution du vocabulaire, régionalisme, etc.), nous vérifions avant de la transmettre.