Eva Quermat aime écrire, comme nombre d’entre nous, et elle partage la souffrance des éditeurs et des organisateurs de concours qui reçoivent parfois des textes… comment dire ? Non, ne disons rien ! Vous avez compris.
Pourtant des correcteurs orthographiques existent. Elle place en tête Antidote, logiciel compatible avec les logiciels Word, Outlook, PowerPoint et LibreOffice. Fort de ses 25 ans d’expérience et ses 11 versions successives, Antidote traque les fautes, donne des indications qui permettent de s’améliorer ; il inclut d’autres fonctionnalités comme éliminer les répétitions, signaler les phrases trop longues, vérifier les conjugaisons, etc. L’abonnement individuel et annuel est de 59 euros, avec mise à jour dans la période d’abonnement, ou l’acquisition définitive est fixée à 119 euros, sans mise à jour. « Pour mon utilisation, je le trouve performant et je ne regrette pas cet achat » confie-t-elle avec enthousiasme.
Pour des usages plus occasionnels et/ou pour les impécunieux, l’application Scribens conviendra, mais elle impose une petite gymnastique : copier le texte, le coller dans l’application, cliquer sur « vérifier » et l’application propose des corrections expliquées. Après avoir accepté celles-ci, il faudra de nouveau copier et coller le texte corrigé dans le traitement de texte.
Français Facile est un autre site gratuit contenant une fonctionnalité de correction ; il permet de réviser les règles de français au travers d’exercices, tester son niveau et vérifier ses textes. Eva conseille d’y faire un tour.
Au delà de ces trois correcteurs, il en existe toute une ribambelle, parmi lesquels Merci app, Cordial, Bon patron, Grammarly, LanguageTool, Le Robert Correcteur, NeuroSpell, Reverso. Si des auteurs les ont testés, nos lignes leur sont ouvertes.
Merci à Eva Quermat d’avoir partagé son avis sur ces alliés utiles, voire indispensables aux écrivains.