Lire c’est bien, l’illettrisme c’est pire !

L’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI) lance un appel à contributions : illettrisme et illectronisme, vos constats, votre expérience.

En avril 2024, l’INSEE a publié les résultats de son enquête Formation tout au long de la vie qui soulignait que 4 % des adultes, soit 1 400 000 personnes, pouvaient être considérées comme étant en situation d’illettrisme. Cette difficulté se combine avec d’autres comme l’illectronisme (illettrisme numérique) ou celles en lien avec la numératie (calculs simples).
L’ANLCI souhaite s’appuyer sur sa connaissance de l’illettrisme et de l’illectronisme pour la mettre au regard des enjeux que les professionnels identifient et des réalités vécues, afin de dégager une vision commune des défis à relever.

L’ANLCI propose une campagne nationale de recueil de contributions. Au fil de l’été, toutes les contributions et propositions seront lues et analysées par un panel d’experts, d’acteurs de terrain, de chercheurs et de personnalités associées, jusqu’aux Journées Nationales d’Action contre l’Illettrisme de septembre prochain. Toutes les réponses serviront de socle au grand Forum national qui sera organisé par l’ANLCI à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts le 17 octobre prochain, à l’occasion de la Journée mondiale du refus de la misère.

Les contributions sont enregistrées dès maintenant grâce au questionnaire accessible sur ce lien.