Interdit de vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Vous connaissez le principe et nous allons l’appliquer en ne vous révélant pas les résultats provisoires. Une telle imprudence risque de donner idée de faire basculer la balance avant le 30 avril, non pour fausser les conclusions, mais simplement par jeu. Néanmois, vous avez la possibilité d’opérer la même manœuvre sans tricher : en invitant vos amis écrivains dans l’âme, vos comparses d’atelier d’écriture à se pencher sur la dizaine de questions. Plus vous serez nombreux à participer à cette enquête, plus nous serons en mesure de dresser un tableau reflétant la réalité.
Pour mémoire, la première question demande si le répondant a participé à un concours de nouvelles au cours de 12 derniers mois : la réponse négative est prévue, donc si vos amis vous chantent : J’y pense, mais je n’en ai encore jamais fait, ils ont leur mot à dire… pourquoi n’ont-ils pas participé ? Comment imaginent-ils le concours adapté à leurs goûts, etc. La réponse affirmative est aussi au programme, elle guide vers une interrogation sur la quantité de participations (et là, surprise) ou les sources d’information (et là, du prévisible) avant d’en venir aux questions sur le concours idéal (et là, beaucoup d’idées diverses).
Cerise sur le gâteau, plusieurs points sont des cartes blanches où s’exprimer. Le questionnaire confirme que le format demandé, entre papier et numérique, a son importance ; mais lequel ? Quand les organisateurs reçoivent certains fichiers, ils sont en droit de se demander où est l’aisance avec l’outil informatique ; les auteurs seraient-ils plus à l’aise avec l’imprimante ? Les zones ouvertes sont disponibles pour s’exprimer.
Si chaque lecteur du site participe et incite une de ses connaissances à l’imiter, le compteur s’affolerait, mais les questionneurs seraient aux anges. À bon entendeur, salut.
Sondage : Les concours et moi