Installée à Lille, Jacqueline Dewerdt-Ogil, ancienne conseillère conjugale, a pris la plume en même temps que sa retraite. Elle poursuit désormais son petit chemin d’écrivain au gré de son inspiration et de ses envies. Sans impératifs ni timing. Par ailleurs, elle s’investit dans une association de lecture à voix haute : La Bocca
Après un premier roman en 2018, Un Tilleul n’est pas un peuplier, elle a pris son temps pour ajouter la nouvelle Ma Bonne Marguerite, publiée à l’été 2020 chez l’Ourse brune, maison d’édition normande et ses jolis petits livres. Puis un nouveau roman Suzanne et ceux de la rue d’En-Bas, chez Zonaires éditions.
Quelques propos extraits de l’interview intégral présenté sur le site :
- Je préfère le format court, voire très court, que je trouve plus exigeant. J’aime les scènes, les portraits.
- D’une manière générale, je réécris beaucoup, pour couper, alléger.
- J’ai besoin d’un long temps de maturation sans écriture. Il me faut visualiser la scène, le physique des personnages, entendre le timbre de leur voix.
L'intégralité de son interview est à retrouver dans la page qui lui est consacrée : Jacqueline Dewerdt-Ogil.